Admirez l'extérieur

Passez le portail et pénétrez un autre monde ! Le colombage, composé de matériaux naturels, poutres en bois et remplissage de torchis, est roi. Il s’intègre parfaitement dans son environnement végétal. Dépaysement et sentiment d’harmonie sont garantis.
Équipements

  • Maison indépendante

  • Jardin clos

  • Barbecue

  • Ping-pong

  • Balançoire

  • Salon de jardin
  • Badminton
    Set de Badminton
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La cour

La cour fermée est l’agencement typique des fermes de la plaine d’Alsace. Dans l’idéal elle est entourée de bâtiments dédiés à une seule fonction bien précise.
Pour S’chwabels : habitation, porcherie, grange, écurie, étable.
La cour vue gîte

Beaucoup de visiteurs sont surpris de découvrir une cour où le végétal est aussi présent. Du sol enherbé au majestueux tilleul, herbes, plantes, arbustes et arbre se partagent harmonieusement l’espace. C’est en été surtout que l’on apprécie leur présence qui, à l’inverse du minéral, restitue une ombre bienvenue et une agréable fraîcheur.

La maison d’habitation n’a que peu changé depuis notre arrivée. Les fenêtres aux petits carreaux de verre soufflé à la bouche et sertis au plomb sont toujours là. La porte d’entrée à deux vantaux superposés a été refaite sur un modèle ancien. Le toit et les abattants ont conservé leurs tuiles plates confectionnées à la main. L’une des souches de cheminée a dû être remplacée par suite d’un accident, l’autre a conservé sa belle mitre d’origine.
À la cave l’on stockait les betteraves fourragères, des légumes d’hiver, des conserves, et bien sûr du vin et du schnaps ! Un inventaire effectué le 17 Décembre 1848 recense un stock de 280 litres d’eau-de-vie… Certainement conservée à des fins thérapeutiques !
Le grenier servait à la conservation de denrées sèches, céréales et noix pour l’essentiel, mais aussi du duvet pour la fabrication de chauds plumons. On y trouvait aussi un fumoir, et il était utilisé pour le séchage des feuilles de tabac, encore très largement cultivé dans les années 80. Quand venait le temps de la récolte tout le village était embaumé de son odeur.

Derrière la maison la porcherie n’a pas encore trouvé de nouvelle destination. Elle abrite aussi une remise et un local que nous avons transformé en cuisine d’été, avec son four à pain, son gril et sa rôtissoire.

Dans l’ancienne et imposante grange qui ferme le fond de la cour nous avons, tout en conservant l’enveloppe intacte, aménagé deux logements loués à l’année. La taille du bâtiment s’explique par le fait que les céréales y étaient mises à l’abri aussitôt récoltées. Ce n’est qu’ensuite que l’on procédait au battage pour séparer le grain de la paille, opération elle aussi menée à l’intérieur. Il fallait donc que la grange puisse contenir au moins le double du volume de la récolte pour pouvoir mener à bien ces travaux. D’autant plus qu’elle servait aussi à abriter les longs chariots de transport dont vous pourrez voir un exemplaire sous une remise.

En face de la porcherie, l’ancienne écurie, qui abrite aussi une remise et un local de rangement. Ce bâtiment attend lui aussi de trouver une destination nouvelle.

Enfin l’étable, qui aujourd’hui abrite le gîte. Son rez-de-chaussée, à l’origine en colombages et en retrait du mur actuel, a été refait au début du XXème S. Il pouvait abriter une petite dizaine de vaches. Mais la magnifique galerie du 1er étage, qui court tout au long du bâtiment, était intacte. Elle a été déterminante pour déclencher notre coup de cœur pour S’chwabels ! À l’extrémité du bâtiment donnant sur la rue, au-dessus d’une remise, se trouvait la chambre du valet. Le reste de l’étage servait à conserver le foin pour nourrir le bétail pendant l’autrefois long et rude hiver alsacien.

La ferme d'autrefois...

Bâtiments et objets dessinent un environnement évocateur de la vie d'une ferme alsacienne aux temps anciens.

Les objets

De multiples objets datant de différentes époques sont disséminés dans la cour.

Explorez, regardez, interrogez-vous, et si vous avez besoin d’éclaircissements, interrogez-nous.

Mais nous n’avons pas toujours la réponse, et peut-être que vous pourrez nous aider !

Autour du four à pain

Notre cuisine d’été vous permettra de retrouver les saveurs oubliées des préparations à l’ancienne. Nous vous accompagnerons dans la découverte des tours de mains qui feront de vos repas des instants d’exception.

La Rôtissoire

Elle permet de réaliser une cuisson à la broche. C’est une cuisson lente, par rayonnement du feu allumé dans un berceau derrière la broche. Pour une pièce telle qu’un gigot ou une grosse volaille, il faut compter entre 2h et 2h30. Les broches sont animées par un mouvement à contrepoids inspiré des appareils en usage aux XVIIème ou XVIIIème S. La force de notre mouvement permet d’entrainer une broche pouvant accueillir un cochon de lait, un agneau ou un chevreau. Si vous souhaitez y recourir, merci de nous le signaler car vous aurez besoin de notre aide pour une utilisation correcte du dispositif.

Le Gril

C’est en fait un grand barbecue intégré à la structure de la rôtissoire.
Formé de deux parties, son utilisation s’adapte facilement au nombre de convives et aux plats à réaliser.
Outre les deux grilles, il peut accueillir jusqu’à une douzaine de grandes brochettes. Selon vos goûts, votre patience et votre savoir-faire il peut fonctionner au bois ou au charbon de bois.

Le four à pain

Construit par Bruno sur les plans d’anciens fours et après des visites exploratoires à l’Écomusée d’Alsace, il est doté d’une magnifique porte de four de boulanger en fonte. Elle est ornée de lions et des emblèmes de la corporation : bretzel et petit pain.

Il est assez grand pour accueillir deux agneaux de lait, de quoi nourrir près d’une cinquantaine de personnes ! Testé et apprécié !

Comme pour le pain et les terrines (baeckeofe) la cuisson se fait après que le feu s’est éteint et que l’on ait retiré les cendres et les dernières braises. C’est la chaleur accumulée dans les briques réfractaires qui assure la cuisson. Comme l’inertie est grande et la baisse des températures lente, on peut, avec de l’organisation, y cuisiner plusieurs plats successivement. Tout à la fin on utilisait la chaleur résiduelle pour sécher les fruits à conserver.

Une exception : les flammekueche qui se cuisent à four ouvert et, comme leur nom l’indique, en présence d’une flamme.

La Rôtissoire

Elle permet de réaliser une cuisson à la broche. C’est une cuisson lente, par rayonnement du feu allumé dans un berceau derrière la broche. Pour une pièce telle qu’un gigot ou une grosse volaille, il faut compter entre 2h et 2h30. Les broches sont animées par un mouvement à contrepoids inspiré des appareils en usage aux XVIIème ou XVIIIème S. La force de notre mouvement permet d’entrainer une broche pouvant accueillir un cochon de lait, un agneau ou un chevreau. Si vous souhaitez y recourir, merci de nous le signaler car vous aurez besoin de notre aide pour une utilisation correcte du dispositif.

Le verger

Le verger participe d’un immense espace vert constitué par les jardins et vergers de nos voisins. En effet pratiquement toutes les maisons ont pignon directement sur rue et un espace vert à l’arrière du terrain. Pour la ferme il y avait d’abord, juste derrière la grange, des châssis pour les semis à replanter. Puis un potager, et enfin le verger. La disposition n’a guère changé, et pour accéder au verger, après avoir traversé la grange et les jardins, il faut toujours passer sous les énormes buis qui forment un arc de triomphe. Quelle gloire !

Les jeux

Pour les enfants, le verger sera le terrain de jeu idéal ! Jeux de balles ou de ballon, balançoire, et aussi une tyrolienne improvisée. Cette dernière ne devra âtre autorisée qu’avec l’autorisation expresse des parents et sous leur étroite surveillance. En cas de doute sur la sécurité, nous enlèverons l’échelle sur simple demande.

Les arbres fruitiers

Commençons par le seigneur : le noyer. En fait il y en a deux au verger, et leur vigueur témoigne de combien ils se trouvent à leur aise dans ce terroir. Le plu ancien était déjà imposant en 1980, mais sa croissance est relativement lente. Le second par contre, tout jeune, grandit comme un adolescent. Avec leur noix, nous faisons de délicieux desserts, nous les grillons pour accompagner nos apéritifs, et aussi nous en tirons de l’huile pour assaisonner nos salades.
Trois variétés de cerisiers contribuent à la variété des options à notre disposition pour utiliser leurs fruits. Quetsches et mirabelles confirment que nous sommes bien en terroir d’Alsace. Enfin les coings, figues et noisettes viennent apporter leur touche de diversité.
La vie des arbres n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Nos plus anciens pommiers n’ont pas résisté aux derniers épisodes de canicule et de sécheresse. Espérons que le jeunot qui s’accroche aura plus de chance !

Les animaux domestiques

Le verger abrite deux chèvres naines, Pirouette et Cacahouète, une paire de petites brebis de race Ouessant et Jaglu, et quelques poules pondeuses Leghorn dorée.
Elles ont chacune leur rôle : les unes recyclent, après tonte et ramassage, herbes et feuilles mortes en engrais naturels. Les autres terminent nos festins en nous fabricant avec leurs reliefs de beaux œufs frais.
Rassurez-vous, aucune d’entre elles ne finira dans nos assiettes.
Bec ou cornes pointues, regard « bizarre » ne doivent pas vous effrayer ! Elles sont surtout craintives. Il faudra néanmoins garder un œil sur les tout petits, jusqu’à 6 ans. Les animaux, comme nous, conservent toujours une part d’imprévisibilité !

Les jeux

Pour les enfants, le verger sera le terrain de jeu idéal ! Jeux de balles ou de ballon, balançoire, et aussi une tyrolienne improvisée. Cette dernière ne devra âtre autorisée qu’avec l’autorisation expresse des parents et sous leur étroite surveillance. En cas de doute sur la sécurité, nous enlèverons l’échelle sur simple demande.

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